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Correction : l'indispensable Antidote

  • Photo du rédacteur: Hélène
    Hélène
  • 26 avr. 2021
  • 2 min de lecture

Pour corriger mon manuscrit, j’avais fait confiance à de multiples relectures sur différents supports, à l’aide de sites tels que Projet Voltaire et de correcteurs basiques (Word, WriteControl), aux quelques remarques de mes lecteurs bêta. Je pensais que c’était OK pour l’essentiel. 👀


Et puis, j’ai repéré une faute oubliée, puis une autre, et j’ai eu un gros coup de panique. Combien restait-il encore de coquilles dans mes 138000 mots ? 😱


En urgence, j’ai acheté une licence pour Antidote, l’outil phare de correction, pour faire un ultime balayage.


📌Mon avis sur Antidote :📌


▶️J’ai trouvé que c’est un outil très puissant, même s’il n’est pas omniscient. Il souligne les passages où son analyse n’a pas pu aboutir (souvent à cause de rupture dans la phrase)

▶️Les suggestions sont ultra précises, indiquant le type possible d’erreur avec commentaire explicatif. Elles permettent de confirmer si oui ou non il y a lieu de corriger suivant le contexte.

▶️C’est aussi un excellent outil pour cibler les points qui peuvent être à revoir sur le style et les répétitions. J’ai utilisé Antidote quand mon manuscrit était déjà très finalisé sur le style, donc je n’ai pas testé cet aspect à fond, mais ce que j’en ai vu était convaincant.

▶️Dernière aide : la ponctuation.


Notre cerveau corrige de lui-même beaucoup de fautes qui du coup nous échappent à la lecture. Et après beaucoup de relectures, on finit par connaître le texte tellement par cœur qu’on perd en perspicacité. Pas le logiciel Antidote.


En un mot, je range Antidote dans la catégorie des IN-DIS-PEN-SABLES pour mes futures corrections de romans. J’étais un peu sceptique quant à son efficacité et j’ai été bluffée. Pour 59€ la licence de base, ça vaut vraiment le coût. Mon seul regret est de m’en être servi si tard.


Alors, ne faites pas comme moi, n’hésitez pas ! 😁



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©2020 Hélène Balvay

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